Merci !

Autres articles de l'auteur

Mourir pour des idées

George Brassens

Mourir pour des idées d’accord mais de mort lente. G Brassens   C’était il y a bien longtemps, mais peut-être est-ce encore le cas aujourd’hui, je l’ignore car je ne fréquente plus guère mes collègues. En ce temps lointain donc, chaque rencontre se faisait...

Lire la suite

Pause

pause

Pause : Il est temps pour chacun d’entre nous de faire enfin une pause après ces deux premiers trimestres éprouvants. Il y a eu certes la pandémie qui, à l’heure où j’écris, est loin d’être terminée et où la crainte d’un retour à l’automne est une éventualité que l’on ne...

Lire la suite

Éditorial : Déconfinement ?

déconfinement astérix

« L’avenir appartient à ceux dont les ouvriers se lèvent tôt » Coluche « Nous vaincrons par ce que nous sommes les plus forts » Paul Reynaud Ministre des finances Septembre 1939 »  ...

Lire la suite

Pages

Merci !

À tous ceux et à toutes celles qui ont signé l’appel que j’ai lancé sur le site Œdipe le 10 mars. En trois semaines il a recueilli plus de 2700 signatures individuelles et le soutien de plus de 40 associations de psychiatres, de psychologues, de psychanalystes, de psychothérapeutes, d’enseignants de l’Université et de collectifs d’étudiants contre le projet de décret relatif à l’article 52 . Nul doute que l’écho de ces signatures n’ait résonné dans couloirs du ministère. Cet appel a aussi eu pour effet de faire comprendre à toutes les professions en charge de la souffrance psychique et de la maladie mentale que la politique du gouvernement nécessitait une réponse unitaire dépassant les intérêts corporatistes. Des rencontres, des échanges ont eu lieu qui ont rompu le mur d’une méconnaissance mutuelle. La politique prônée par ce gouvernement au bord de la faillite vise à faire de chacun de nous des distributeurs de médicaments, des contempteurs de la pensée unique et des analphabètes de la réflexion. Chacun a compris qu’il fallait d’urgence y mettre un terme. À mes yeux l’article 52 et son décret d’application ne sont que l’un des aspects de cette politique qui concerne chaque citoyen dans son rapport à l’intime.

Une nouvelle rédaction du décret nous est proposée. Pour en débattre et entendre la position de chacun à ce sujet un rendez-vous est pris le 29 avril à 14h à la CMME, 100 rue de la Santé 75014.