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La force du nom
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Leur nom, ils l’ont changé...
Les noms comme les visages nous identifient, ils portent l’histoire des ancêtres et se
(trans)portent de génération en génération : transmission du patronyme, du nom dit de famille.
Comme nous dit la petite histoire (juive), les noms nous collent à la peau et à vouloir s’en
séparer, ils vous reviennent comme des signifiants porteurs de l’origine. Dans la tradition juive,
le nom apparaît comme porteur de sens. Dans la Bible, le premier acte d’Adam fut de nommer
tous les animaux et tous les oiseaux que dieu avait créés (Genèse 2, 19-20). Puis Adam nomme
sa femme Ève.
À faire la route (de l’exil), nombreux sont les juifs qui ont changé d’un « nom à coucher
dehors » car ce nom, parfois difficilement prononçable, les identifiait comme venant d’ailleurs,
risquant de freiner leur intégration et leur promotion sociale.
Comment les noms nous identifient-ils ? De quels lieux sont-ils porteurs ? Comment
nous approprions-nous nos noms ? Comment habitons-nous nos noms ? Et quel regard les
autres portent-ils sur notre patronyme ?
Avec notamment les contributions de Cyril Aslanov , Raphaël Drai, Alain Didier-Weill, Bruno
Huisman, Nicole Lapierre, Meir Waintrater, Eric Ghozlan, Francine Kaufmann...