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Freud et Vienne
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Freud, nous le savons, était amateur d'art, mais il était surtout intéressé par
l'art du Quattrocento ou de l'Antiquité, sur lequel il s'est appuyé pour
construire ses théories soit en le prenant comme modèle (Œdipe roi ou
Hamiet) soit en l'utilisant comme support clinique (Léonard de Vinci,
Signorelli). Comment ne pas être étonné qu'il ait ignoré une bonne part des
productions artistiques de son époque ? Pourtant ses contemporains,
peintres, poètes, écrivains, architectes, musiciens, traitaient des mêmes
impasses de la construction subjective, des mêmes expressions du désir, des
mêmes questions fondamentalement humaines...
Tous les auteurs réunis ici, psychanalystes, philosophes, historiens, éclairent,
à leur manière, un pan de cette ignorance mutuelle entre Freud et la Vienne
de son époque. Au-delà de la richesse de chacun des exposés, apparaît une
lecture nouvelle et forte du rapport du sujet à son temps, et des impasses
de la subjectivité dans le rapport à la culture, qui éclaire bien des avatars de
notre modernité.