Folies minuscules suivi de folies meurtrières

La première partie de l’ouvrage est consacrée aux traumatismes nés de ces petites phrases, entendues dans l’enfance, qui peuvent avoir des effets dévastateurs sur toute une vie. Qu’il s’agisse, par exemple, de remarques fielleuses sur le fait de n’être pas un enfant désiré ou, à l’inverse, de témoignages d’une affection étouffante, leur influence peut se révéler tout aussi pernicieuse et déstabilisante. #
À partir de fragments de séances et de propos entendus, Jacques Andre se livre à une série de réflexions d’ordre plus général sur ces « mots qui rendent fous », réflexions exposées dans de brefs chapitres le plus concrets possibles.#
La seconde partie traite des « folies meurtrières », ces coups de folie subite (en apparence) qui culminent avec la mort violente d’une personne appartenant généralement à l’entourage proche de l’assassin. Mais une fois le meurtre accompli, son auteur semble retrouver la « normalité » et, en tout cas, ne récidive pas. L’auteur, qui a eu l’occasion d’occuper des fonctions d’expert psychiatrique, se sert de son expérience pour tenter d’éclairer ces épisodes isolés, le plus souvent uniques dans une existence, de violence paroxystique.#
14,50 euros#
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