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Dieu, un père?
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Les psychanalystes savent depuis l’enseignement de Freud que les carences, les blessures narcissiques peuvent s’harmoniser au sein d’une société. Ce « rééquilibrage narcissique » a permis à Jésus, privé de père, d’en trouver un qu’il propose en partage à tous. Parce qu’elles servaient les politiques en place, les bases de la religion chrétienne sont ainsi posées. Siècle après siècle, elles ont conforté une structure familiale qui, pour tout croyant, est une référence, un guide, mais aussi une astreinte.
La religion, par ses constructions artificielles, telle la notion de Dieu-Père, détourne à son avantage les questions que chacun, chacune tente d’aborder. Pour l’auteur, il ne s’agit pas de vêtir l’Humain de concepts, mais de l’aider à se dévêtir de ses fictions afin de lui permettre de retrouver le « goût du manque » d’où part un désir infini qui ne rencontre jamais un Dieu qui le comble. Il propose dans cet essai une voie disruptive qui délaisse la spiritualité verticale avec le Dieu-Père-Créateur pour une spiritualité horizontale à vivre dans le compagnonnage.