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Ce qui reste du père
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Alors que la gloire de la version symbolique du Père a expiré, l’auteur s’attache à penser au père en tant que reste et non idéal normatif, comme incarnation et non fonction signifiante, comme acteur singulier et non pur symbole, comme rencontre contingente plutôt que Nom, comme responsabilité éthique et non garantie ontologique.
Dans une série de témoignages sur ce qui reste du père - Philip Roth, Cormac McCarthy et Clint Eastwood – il offre des visions de la paternité complètement détachées de la dimension théologique et normative qui a caractérisé, sous plusieurs aspects, la fonction œdipienne théorisée par Freud. Par définition, ces témoignages ne sont pas exemplaires. Ils montrent que ce qui reste du père est l’acte singulier sans écran ni garantie avec lequel un père, privé de tout support idéal, sait offrir une solution possible et réelle pour unir le désir à la Loi, pour préserver le mystère de la vie et de la mort, la responsabilité de l’héritage et de la transmission.