spectacle/musique

Musique
"je ne sais quoi" Yvette Guilbert
Jean Allouch / Contre l’éternité / Cabaret : p. . Cabaret Sigmund Freud goûtait fort les chansons d’Yvette Guilbert (1865-1944) qu’incité par Mme Charcot il entendit lors de son séjour à Paris chez le maître de la Salpêtrière, entre octobre 1885 et février 1886. Quarante ans plus tard, s’engage une correspondance 1 , sans doute occasionnée par une tournée de la « diseuse 2 » à Vienne. M. et Mme Freud saluent ce séjour par l’envoi d’un bouquet de fleurs à l’hôtel Bristol, où séjournent l’actrice et Max Schiller, son mari. Un billet accompagne sans doute l’envoi, signé Sigmund Freud. On...
"je ne sais quoi" Yvette Guilbert
Si Freud n’était guère sensible à la musique, on sait qu’en revanche il appréciait les chansons d’Yvette Guilbert. Une longue correspondance en témoigne dont seule une faible partie nous est parvenue. Originaire d’un milieu modeste , Yvette Guilbert avait fait carrière d’abord au théâtre puis au cabaret dans le but avoué de gagner de l’argent. C’est au cours de son séjour à Paris en 1885 que Freud visiteur avide de découvertes et de dépaysement mais fort désargenté lui aussi avait pu l’apprécier dans son répertoire. Il ne manqua pas ensuite de venir l’écouter chaque année lors des récitals qu...
L'article en espagnol est apparu dans la Revue "Circe" N* 6, de l'Université de la Pampa, Argentine, au mois de février 2002. Une brève introduction a l'histoire de l'Opéra. Le drame musical chanté que l'on connaît sous le nom d'Opéra, a surgi en Italie - à Florence, pour être plus précis - à la fin du XVIème siècle. Dans le palais du Comte Giovanni Bardi de Vernio, un groupe d'aristocrates, d'intellectuels - comme Vincenzo Galilei, le père de Galilée - et de musiciens - comme les premiers auteurs d'opéra Peri et Caccini - réunis dans une entité qu'on appelait la Camerata Fiorentina, se...