Soumis par Bertaux-Navoise... le
Ce titre renvoie à celui de Jean-Pierre Vernant et Pierre Vidal-Naquet : "Oedipe sans complexe" in Oedipe et ses mythes, Historiques, 1967 (43), 2.
Introduction
"Chez le garçon, Freud disait que l'Oedipe reposait sur une angoisse de castration. Or je n’ai jamais, mais vraiment jamais, entendu un patient évoquer cela en séance." Bruno Clavier1
En psychanalyse, la théorie découle de la pratique. Bien que mes recherches ne portent que sur les écrits de praticiens, ici ceux de Freud, je n'échappe pas à cette règle. Ainsi, après ma découverte d'une grave erreur de Freud dans l'analyse de l'Homme-loup, j’ai étendu cette trouvaille à la théorie de l'Œdipe. Nous allons voir que, comme cette erreur, cette dernière a souffert du traumatisme (avec amnésie traumatique) généré chez Freud par sa circoncision. Carlo Bonomi semble nous avoir donné un exemple de ce traumatisme dans les difficultés de Freud avec la mutilation sexuelle d'Emma Eckstein2. Voici cette erreur : Freud interprète les termes qui suivent de la domestique de l'Homme-Loup enfant comme une menace d’éviration :
"Les enfants qui font cela (autosexualité), il leur vient à cet endroit une blessure."3
Mais d'une part, c’est une répression sévère de l’autosexualité par menace de perte de l’amour. D’autre part, c’est une prédiction d'ordre purement biologique, qui ressemble à un mauvais sort, menaçant certes, mais qui n'est pas une menace humaine. Des années après la fin de l'analyse, la multiplication des atteintes dermatologiques sur le nez de Serge Pankejeff démontrera de façon éclatante que Freud a été incapable de lever l'envoûtement. Car blessure n'est pas ablation et Freud a projeté son fantasme d’éviration sur son patient. Ce dernier ne pouvait pas être guéri après une interprétation de la première répression de sa sexualité aussi éloignée de la réalité. Le jour où j'ai révélé cette trouvaille à Patrick Guyomard, il m'a déclaré : "C'est un renouveau pour la psychanalyse." J’en fus très étonné, mais il ne croyait pas si bien dire...
Semblablement, la grande faille dans la vision de Freud du complexe d'Oedipe est étroitement liée à son traumatisme de circoncis. Ce traumatisme apparaît dans ses cinq rêves (cauchemars) sur la circoncision4 5. Il se fait jour également dans la maladresse de sa théorie sur la circoncision :
"La circoncision est le substitut symbolique de la castration que le père primitif avait jadis infligée à ses fils... et quiconque adoptait ce symbole montrait qu'il était prêt à se soumettre à la volonté du père... "6
Cette vision est inacceptable. D'une part les parents (sûrement pas les enfants) n'"adoptent" pas le prétendu symbole ; le groupe social, notamment les grands-parents, le leur impose comme norme d'appartenance (certainement pas d’identité). D'autre part l'idée que les pères primitifs auraient pratiqué la castration de leurs fils est très éloignée de la réalité des cultures de la polygamie où la circoncision a éclos. Les eunuques des harems présentifiaient de façon criante une menace non de castration mais d'éviration envers les grands fils du même âge que les jeunes épouses du père. Il s’agissait d’interdire le plaisir et pas particulièrement la reproduction. Enfin, la circoncision est un viol par instrument tranchant et une mutilation barbare qui n'a rien de symbolique. Elle n'est pas seulement un moyen insensé de prévenir l'inceste, elle vise aussi à soumettre l'enfant (et l'adulte) et favoriser l'endogamie et la possession des femmes. Ce n'est pas un progrès dans l'histoire de l'humanité mais une monstrueuse régression.
Le châtiment immédiat d'Œdipe est l’exclusion de la famille,
et la menace n’est pas la castration mais la mort
La vision freudienne du complexe d'Oedipe comporte un biais culturel, provoqué par la circoncision, qui dénature en l'affaiblissant le mythe de Sophocle. Roheim a souligné le fait que les rituels de séparation de la mère des primitifs faussent le complexe d'Œdipe :
"... la surabondance des rituels traitant de ce thème (l'oralité) est un camouflage du complexe "d'Oedipe."7
Cette remarque s'applique bien évidemment à la circoncision, et ainsi à Freud qui interprète l'aveuglement d'Oedipe comme une castration :
"La castration, et l'aveuglement qui s'y substitue, sont la punition... "8
Il n'y a rien de tel chez Sophocle. Premièrement, le châtiment ordonné par Laios a été l’exclusion de la famille. Oedipe n'a pas échappé à une mutilation sexuelle mais à la mort qui aurait pu en être la conséquence. Deuxièmement, Oedipe souhaitait mourir lapidé, ce qui n'a rien à voir avec une castration. Il ne s'est résolu à se crever les yeux que parce qu'il ne trouvait personne pour ce faire. Troisièmement, il souhaitait mourir par peur d'avoir perdu l'amour de son peuple. Freud a été incapable de voir qu’Œdipe se sentait exclu de la société. Or la sanction judaïque de l’absence de circoncision est justement l’exclusion de la société. Freud a occulté cette sanction chez Œdipe comme s’il se sentait inconsciemment lui-même exclu de la communauté juive à cause de son engagement contre la mutilation sexuelle masculine. Enfin, s'il devait y avoir une mutilation sexuelle dans l'histoire d'Oedipe, elle serait opérée par le père, non par Oedipe. Freud fait erreur d'un côté sur l'agent, de l'autre sur le châtiment, et sa suggestion concernant cette dernier est moins sévère que la réalité. Traumatisé par sa circoncision, Freud voit de la castration là où il n'y en a pas. Incapable de voir qu’Œdipe a subi le châtiment social judaïque de l’absence de circoncision, il a projeté sur lui le châtiment rituel judaïque. Ce faisant, il a dénaturé, gauchi l'Œdipe de Sophocle.
Chez Sophocle, l'aveuglement d'Oedipe symbolise son ignorance, "cécité" ou inconscience lorsqu'il a tué son père et épousé sa mère, double cécité donc (un œil pour papa, un œil pour maman). Mais Freud a projeté sur le mythe de Sophocle la menace d'éviration de la circoncision, extrêmement prégnante puisque consistant en un début de réalisation. Le fait qu'il a considéré l’aveuglement d’Oedipe comme une métaphore de la castration est le comble de... son propre aveuglement, résultant de son angoisse et de ses phantasmes d'éviration inconscients de circoncis. Le scénario de Sophocle est le phantasme inconscient normal : tuer son père et épouser sa mère, peur d’être tué par lui. Freud a projeté sur le mythe hellénistique le très judaïque rituel de punition (par anticipation) par début de réalisation et menace d'éviration. Il a inventé la science (linguistique comme souligné par Lacan) du déchiffrement de l'inconscient mais c'est Sophocle qui a inventé l'inconscient et le complexe d'Oedipe.
Une grave erreur théorique résulte de ce biais culturel. Freud intègre ses fantasmes d'éviration au complexe d'Oedipe sous la forme d’un "complexe de castration" inexistant. Mais pour ceux qui n'ont pas été traumatisés par une mutilation sexuelle, à l'âge des impulsions sexuelles pour le parent du sexe opposé et de la jalousie envers l'autre, la menace imaginée par l'enfant face à ses désirs concernant le couple parental, n'est pas l'éviration mais la mort par perte de l'amour et donc abandon, exclusion de la famille. Freud a formulé cette menace pour les filles :
"L'angoisse de castration n'est naturellement pas le seul motif du refoulement, elle n'a déjà pas lieu chez les femmes qui ont, certes, un complexe de castration, mais ne peuvent pas avoir d'angoisse de castration. A sa place survient chez l'autre sexe l'angoisse de la perte de l'amour... "9
mais pas pour les garçons alors que le problème est le même : c'est l'angoisse de mort résultant de la crainte de perte de l’amour qui est déterminante. Conséquence directe de son traumatisme de circoncis, le sexisme de Freud s'exprime ici dans toute son ampleur. Freud suppose que, grâce à leur circoncision, signe d’une prétendue soumission, les circoncis ne peuvent pas perdre l’amour des parents. La circoncision est une opération sexiste10, Freud n’échappe pas à ce sexisme.
Roheim a signalé l’altération du complexe d'Oedipe (moment de l'intégration dans la société) dans les cultures pratiquant la circoncision. Une menace réelle d'éviration y est substituée à la crainte imaginaire de la mort résultant du désir inconscient de tuer le parent du même sexe. Mais la bonne résolution de l'Oedipe ne peut pas résulter d'une atteinte (ou d'une menace d'atteinte) physique par autrui. Tout au contraire, la mise en valeur, positive ou négative, d'une quelconque partie du corps, par une violence réelle ou verbale du groupe social, constitue une inacceptable ingérence dans le développement de l'individu et la vie familiale, source de psychopathologie de masse11. Une décision de la justice israélienne, heureusement cassée par la cour suprême, a illustré cette affirmation de façon particulièrement choquante ; elle avait condamné une mère à une lourde astreinte journalière tant qu'elle n'aurait pas fait circoncire son fils.
Les circoncis, ou ceux qui ont subi une menace d'éviration, peuvent trouver une échappatoire et croire à une atténuation en leur faveur de la loi universelle. Rien de tel qu'une circoncision ou une menace d'éviration pour pervertir un enfant. Douter de ses géniteurs lui est difficile. Il est naturellement conduit à se targuer, avec une grande richesse d'arguments, de leurs bienfaits comme de leurs méfaits (syndrome de Stockholm collectif et transgénérationnel). Devenu adulte, la mutilation qui semble avoir toujours existé lui paraît naturelle, il la reproduira sur ses enfants, au prix de discriminer l'humanité entière.
Le circoncis risque de faire de son infirmité un alibi. Une éviration partielle lui apporte le réconfort d'un signe d'"identification" le mettant non seulement au-dessus des femmes mais encore au dessus du commun des mortels. Comme s'il suffisait d'une mutilation pour quitter (ou ne pas quitter) l'enfance ! Ce n'est pas tant qu'il considère intimement les autres hommes, les "étrangers", comme des exclus méprisables, sales et intouchables sous peine de contamination, c'est surtout qu'il lui serait impensable qu'ils épousent ses filles ou sœurs. L'endogamie raciste et la possession des femmes sont bien évidemment un des buts de l'opération. C'est aussi que la circoncision est un signe extérieur d'appartenance à une communauté violente – et donc supposée puissante. Prétendument plus rassurante que des documents d'identité, la soi-disant identité collective d'un simple signe particulier devient le paradigme du narcissisme de groupes xénophobes qui se discriminent, discriminent leurs enfants et discriminent la communauté universelle par un racisme artificiel chirurgicalement imposé aux mineurs. Cette discrimination est d'autant plus condamnable qu'elle s'appuie sur la croyance en une supériorité morale puritaine garantie par la mutilation, soit un racisme à la puissance dix. Les rabbins voient même dans la circoncision un élément de sainteté. Elle place définitivement ses détenteurs dans une caste, les "élus", qui peut croire que tout lui est permis (lapidation, excision, mariage forcé, polygamie…, etc.) ou dû (la "terre promise"). C'est, par une action violente sur l'inconscient et les motivations puissantes du monde des affects, une technique perverse d'emprise sur l'individu en vue de son enrôlement dans une société abusive. Cette emprise est renforcée par la sanction de l’absence de mutilation : l’exclusion de la communauté. Elle renforce la division du monde en groupes rivaux se livrant à des guerres sans merci, comme signalé par le prix Nobel George Wald12.
Certains praticiens objectent qu'ils rencontrent fréquemment des fantasmes d'éviration chez leurs patients, qu'ils attribuent à un "complexe de castration". Ces fantasmes sont normaux mais ne permettent pas de conclure à l'universalité d'un complexe de castration. Il y a des fantasmes d'éviration chez nombre de névrosés, il n'y a pas de complexe de castration universel. Le complexe d'Oedipe est donc identique chez la fille et le garçon.
Cette erreur fondamentale est étroitement liée à la fausse idée de la "castration féminine". Freud affirmait justement que le clitoris est le deuxième organe sexuel de la femme, un petit pénis. Il n'en a pas tiré la conséquence que c'est le phallus féminin. La biologie a montré qu'il est aussi volumineux que le masculin. Ignorants, Freud, Lacan et leurs disciples le dénient constamment pour se repaître du mythe de la castration féminine, voire de délirantes formules mathématiques de la sexuation (Lacan) dans lesquelles certains l'ont et d'autres non !
Le complexe d'Œdipe repose sur une menace de mort imaginaire, fantasmée. Mais les menaces réelles de perte de l'amour et donc de mort, existent aussi. Criminelles, elles sont aussi terriblement déstructurantes que les menaces d'éviration. Il faut leur assimiler l'interdit de l'autosexualité. Freud et Lacan ont été victimes d'une confusion entre menace imaginaire et menace réelle.
Autres conséquences pratiques du traumatisme de la circoncision
Freud a répété cette erreur à l’intérieur même de sa plus limpide prise de conscience de la gravité du traumatisme des menaces d’éviration :
"Les résultats de la menace de castration sont multiples et incalculables ; ils affectent toutes les relations d'un garçon avec ses pères et mères et par la suite avec les hommes et les femmes en général."13
La note de bas de page suggère discrètement, de façon biaisée par la fumeuse théorie de la soumission (qui n’est pas soumission au père mais soumission du père à la société, notamment aux grands-parents) que la circoncision est une de ces déstructurantes menaces :
"(1) …La coutume primitive de la circoncision, un autre substitut de la castration, ne peut être comprise que comme l'expression d'une soumission à la volonté paternelle…
Autre exemple de cette erreur :
"… ce qui est particulièrement remarquable, c'est la représentation de l'onanisme, ou plutôt de sa punition, la castration, par la chute ou l'arrachage d'une dent, parce qu'on trouve un pendant en ethnologie, ce que ne savent sans doute que très peu de rêveurs. Il ne me semble pas douteux que la circoncision pratiquée chez tant de peuples, est un équivalent de la castration et vient en prendre le relais. On nous rapporte d'ailleurs qu'en Australie, certaines tribus primitives procèdent à la circoncision comme rite de puberté (pour la fête marquant l'entrée de la jeunesse dans l'âge d'homme), tandis que d'autres tribus, bien qu'habitant tout près des premières, ont remplacé cet acte par l'extraction d'une dent."14
Freud ne voit pas que la circoncision et l'arrachage de dents sont des menaces/com-mencements de réalisation de mort (la partie pour le tout) et que les rêves (cauchemars) de chute de dents sont des rêves de mort, comme les rêves de faux pas ou de chute.
De même, l’interprétation de Freud de l'hallucination du doigt coupé de l'Homme-Loup en termes de castration relève de la même projection de sa circoncision. Elle ignore les termes "ne tenait plus que par la peau" qui indiquent qu'il s'agit d'un questionnement sur l'intumescence et la détumescence.
Lacan fut une grande victime de ces erreurs15, jusqu'à émettre le concept fumeux de castration symbolique, lequel justifie en pratique la castration du portefeuille des clients (séances courtes avec une salle d'attente pleine)(*). Les psychanalystes qui croient à un complexe de castration risquent d'être peu efficaces, délirants et escrocs (cf. Antoinette Fouque qui, comme Lacan, a fait fortune avec les séances courtes).
Conclusion
- Maman, je t'aime !
- Oh, merci, mon amour ! Dis-le aussi à papa, il sera content.
- Papa, j'aime maman.
Un biais culturel sexiste n'est pas de mise en psychanalyse. Le complexe d'Oedipe est le même pour la fille et le garçon et il n’a rien à voir avec une menace d’éviration. La menace est une menace de mort phantasmée par l'enfant et non agie par les parents. Dans le mythe grec, les deux parents sont complices et la menace est une menace de perte de l'amour des parents – et pas seulement du père – et donc de mort par abandon. Il peut y avoir des fantasmes et des angoisses d'éviration chez les hom-mes mais il n'y a pas de complexe de castration. Ce dernier est la projection sur l'humanité des fantasmes d'éviration d'un circoncis. En corollaire, il n'y a pas de fonction spécifiquement paternelle ; seule la fonction parentale existe. La fonction paternelle serait celle de la raison du plus fort, tout ce dont on ne veut pas. Le complexe d’Œdipe n’est d’ailleurs qu’un cas particulier du septième commandement. L’Œdipe n’est donc pas seulement une menace, c’est aussi l’acceptation de la loi d’amour, à savoir que c’est le premier en place, soit le père ou la mère, qui terminera ses jours avec l’autre parent. L’Œdipe est donc aussi le respect de la différence des âges, contrairement à la pratique de Lacan.
Le parallèle est évident entre la circoncision et l'histoire d'Œdipe ; dans les deux cas, un père criminel tente de porter atteinte à la vie de son fils ou le mutile en son plus intime. Mais on ne saurait comparer une mutilation réelle, collective et transgénérationnelle avec un mythe ou un fantasme. En l'absence de ces rapprochement et distinction, circoncision et castration sont un boulet aux pieds de la psychanalyse. C'est l'échec de la psychanalyse à mettre le doigt sur cette faille – et non, comme le pensait Alice Miller, la perversité polymorphe naturelle de l'enfant (ce n'est pas parce que l'enfant est naturellement abusif que les adultes doivent l'être) – qui peuvent faire d'elle une pédagogie empoisonnée. Le concept de complexe de castration et le terme de castration, lorsqu'il est substitué à celui de mort, sont inadmissibles en psychanalyse. Ils la rendent sexiste. Dans l'inconscient de Freud, cette faille a pour fonction de préserver les mythes judaï-ques de la supériorité morale des circoncis et de l'éviration des femmes, soi-disant déjà castrées d'après le Talmud16. Cette grave erreur théorique ne peut être sans conséquences sur la pratique psychanalytique.
Appliquant la psychanalyse à son fondateur, nous avons montré la conséquence du traumatisme (amnésié) de la circoncision sur la personne de Freud : une paralysie de la pensée. Victime d’un syndrome de stress post-traumatique, il a commis plusieurs erreurs pratiques et une grave erreur théorique sur la nature du complexe d’Oedipe. Cela confirme de façon éclatante les deux grandes découvertes freudiennes : la sexualité infantile et l’inconscient. La circoncision est la pire répression de l’autosexualité. Cette répression est la première grande découverte de Freud. Pour en avoir été victime sous la pire de ses formes, il a réussi à la nommer comme cause du refoulement fondamental, et donc de la formation de l’inconscient. La circoncision n’est pas un simple biais culturel, elle est surtout un traumatisme culturel.
1 Clavier B. Les fantômes de l'analyste. Paris : Payot-Rivages ; 2017.
2 Bonomi C. The Freud-Ferenczi controversy in light of Emma Eckstein’s circumcision. International forum of psychoanalysis, 25 (4): 202-210.
3 Extraits de l'histoire d'une névrose infantile. 1918. Paris : PUF ; 1988. O.C., XIII, p. 21.
4 Colman W. "The scenes themselves which lie at the bottom of the story:" Julius, circumcision, and the castration complex. Psychoanalytic review, 1994 81 (4), 603-25.
5 Bertaux-Navoiseau M. Cinq rêves de Freud témoignent du traumatisme de sa propre circoncision. academia.edu.
6 Freud S. L'homme Moïse et la religion monothéiste. 1936. Paris : Gallimard ; 1986. p. 223-24.
7 Roheim G. Psychanalyse et anthropologie. 1950. Paris : Gallimard ; 1967. 192-93.
8 Freud S. Totem et tabou. 1912. Paris : PUF ; 1998. O.C., XI. 347.
9 Nouvelles conférences d'introduction à la psychanalyse. 1933. Paris : PUF ; 1995. O.C., XIX.
10 Pollack M. Circumcision: identity, gender, and power https://www.tikkun.org/newsite/circumcision-identity-gender-and-power
11 Bertaux-Navoiseau M. Les mutilations sexuelles (excision, circoncision), une dangereuse folie collective : un syndrome de Münchhausen par procuration transgénérationnel et collectif et un syndrome Stockholm aggravé parce que collectif. academia.edu.
12 Wald G. Circumcision (1975). What jewish nobelist George Wald had to say about circumcision, Church and state, 2012.
13 Abrégé de psychanalyse. 1938. Paris : PUF ; 1978. p. 60-62.
14 Leçons d'introduction à la psychanalyse. 1916-17. Paris : PUF ; 2000. O.C., XIV, 170.
15 Bertaux-Navoiseau M. Lacan, la circoncision et… l'excision ! (le retour… en arrière !)
(*) L’escroquerie systématique de Lacan a été démontrée chiffres en main par Roudinesco dans son Histoire de la psychoanalyse.
16 Talmud Avoda zara 27, a.
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