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La « règle fondamentale », édictée par Freud, comporte deux versants, l’un concernant l’analysant, la loi de non-omission, l’autre, sa contrepartie concernant l’analyste, l’attention également en suspens (dite parfois attention flottante).
Cette règle est au fondement de la pratique analytique et elle la distingue de celle de la psychothérapie. En favorisant la surprise de l’inconscient et « l’équivalence matérielle » du signifiant, elle accointe la psychanalyse à la science.
L’apparente simplicité de cette règle cache en vérité une grande complexité. Si elle peut être mise au rang de règle technique, c’est dans la mesure où le savoir-faire pour l’exercer confine à l’art. D’autre part, elle comporte une dimension éthique en impliquant une suspension du jugement allant jusqu’à l’exigence qui s’en déduit de considérer la singularité de chaque cas indépendamment de l’expérience acquise.
Quelles difficultés rencontre-t-on dans son application lors de la pratique analytique, tant du côté analysant qu’analyste ? À quels fondements théoriques répond-elle ? Comment s’énonce-t-elle et se transmet-elle ? Quels sont ses enjeux ? Quels effets comporte-t-elle sur les avancées de l’analyse ?
sommaire
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