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L'apport des structures cliniques névrose, psychose et perversion est aujourd’hui remis en question. De nouvelles appellations se multiplient et tentent de renforcer la posture scientifique, à l'aide d'items à consigner et auxquels se référer pour s'assurer qu'il s'agit bien de pathologie.
Mais ce que nous constatons dans l'expérience quotidienne au "un par un" avec nos patients ne fonctionne pas ainsi. Cette prétention à vouloir "classer", évaluer, et ainsi donner un nom qui nomme une souffrance, au lieu de représenter le sujet souffrant, n'est peut-être qu'une tentative pour rassurer le soignant. Les effets du réel dans la clinique, dans et à travers la parole, ne peuvent être décrits ainsi. La psychanalyse peut-elle se reconnaître en tant qu’une “science du réel” ? Alors : quel serait le statut du sujet en psychanalyse ? Quelles sont les opérations nécessaires pour que du sujet puisse se produire au lieu du grand Autre qui lui préexiste ? Comment quelqu’un advient-il au lieu du sujet ? Les structures névrose, psychose et perversion pourraient-elles être le dernier bastion pour soutenir le sujet aujourd'hui ?
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