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Nicolas de Staël Portées d'un acte
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le 16 mars 1955, après avoir écrit à son ami Jacques Dubourg : « Je n'ai pas la force de parachever mes tableaux », Nicolas de Staël monte sur la terrasse de son atelier et se précipite dans le vide. Un tel agir participe-t-il lui aussi de l'inachèvement ?
Jean-Louis Sous convoque ici le tableau Le Grand Concert, mais surtout la correspondance personnelle du peintre, moins pour interpréter un acte suicidaire que pour faire résonner ce qui a pu orchestrer sa réalisation.